SARL ou micro-entreprise : quel statut juridique est fait pour vous ?

Le choix du statut juridique d’une entreprise est une étape déterminante lors de sa création. Ce dernier impacte non seulement son organisation interne, mais aussi ses obligations fiscales et comptables. En France, la micro-entreprise et la Société à Responsabilité Limitée (SARL) sont deux statuts particulièrement populaires pour les entrepreneurs, chacun offrant des avantages et des inconvénients selon la taille et les objectifs du projet. Quelle forme juridique choisir en fonction de votre situation ? Quelles sont leurs différences ? Les réponses à vos questions dans cet article !

SARL ou micro-entreprise : quel statut juridique est fait pour vous ?

📝 En résumé :

  • Avec sa simplicité de gestion et ses démarches gratuites, la micro-entreprise est idéale pour se lancer avec un budget limité, tester une idée en solo et démarrer sans prise de tête, à condition de respecter les seuils de chiffre d’affaires ;
  • Si vous prévoyez de vous associer ou visez une croissance rapide, la SARL est à privilégier. Cette dernière offre plus de flexibilité et un cadre adapté à l’expansion de votre entreprise.

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Notre tableau récapitulatif 

Caractéristiques SARL Micro-entreprise
👱🏽‍♂️ Personnalité Personnalité morale distincte Pas de personnalité morale distincte
🧑‍🤝‍🧑 Associé 2 à 100 associés (EURL si associé unique) 1
💰Dépôt de capital 1€ symbolique Pas de capital social
💶 Responsabilité Limitée
💻Création Création complexe et payante :
– Domiciliation de l’entreprise 
– Constitution et dépôt du capital social 
– Rédaction des statuts 
– Publication d’une annonce légale dans un journal conforme (JAL) 
– Demande d’immatriculation sur le guichet unique de l’INPI 
Gratuite :
Immatriculation auprès de l’INPI
📊Seuils de chiffre d’affaires (CA) Aucun seuil de CA La micro-entreprise est soumise à des seuils :
– 77 700€ pour les activités de prestation de service 
– 188 700€pour les commerçants et les artisans. Au-delà de ces seuils, vous passez automatiquement en EI
📝 Régime fiscal Impôt sur les sociétés avec option possible pour l’Impôt sur les sociétés (pour 5 ans) Impôt sur le revenu, un abattement forfaitaire est appliqué. Avec option possible pour le versement libératoire de l’impôt sur le revenu
Les frais sont déductibles pour leur montant réel Les frais ne sont pas déductibles pour leur montant réel
🤓 Régime social du dirigeant Le régime social dépend du statut du gérant :
– Gérant minoritaire – Assimilé salarié – Régime général de la Sécurité Sociale
– Gérant majoritaire rémunéré – TNS  – Sécurité Sociale des Indépendants
Charges sociales ont un taux réduit fixe en fonction du chiffre d’affaires réalisé
👨🏼‍💼 Obligations comptables Une comptabilité complète avec :
– Comptabilité régulière
– Tenue des livres comptables
– Établissement des comptes annuels
Une comptabilité simplifiée avec :
– Des déclarations de CA auprès de l’Urssaf ;
– Un livre de recettes et un livre des achats si activité commerciale.

SARL et micro-entreprise : qu’est-ce que c’est ? 

Définition des statuts juridiques

La micro-entreprise en quelques mots 

Une micro-entreprise, également appelée auto-entreprise, est une forme simplifiée d’entreprise individuelle. Contrairement à l’entreprise individuelle qui désigne un statut juridique, la micro-entreprise fait référence à un régime fiscal et social avantageux et simplifié.

Le micro-entrepreneur exerce son activité en son nom propre et bénéficie d’un régime simplifié : le régime micro (qui allie régime micro-social et micro-fiscal). Ce régime est particulièrement adapté aux travailleurs indépendants générant un chiffre d’affaires modéré. 

Il existe deux principaux régimes au sein de la micro-entreprise :

  • Le micro-BIC : pour les activités commerciales ou artisanales ;
  • Le micro-BNC : pour les professions libérales.

Contrairement à une société, la micro-entreprise ne dispose pas d’une personnalité juridique distincte de celle de l’entrepreneur. Autrement dit, le micro-entrepreneur et son entreprise ne font qu’un. 

Bon à savoir : Depuis le 15 mai 2022, la responsabilité du micro-entrepreneur est limitée à ses apports. En d’autres termes, ses biens personnels sont mieux protégés et ne peuvent plus être saisis par les créanciers de l’entreprise en cas de dettes. 

La SARL en quelques mots 

La SARL (ou Société à Responsabilité Limitée) est une forme de société qui permet à une ou plusieurs personnes d’exercer une activité commerciale, artisanale ou libérale tout en bénéficiant d’une responsabilité limitée aux apports. Ce statut est particulièrement prisé des entrepreneurs qui souhaitent structurer leur activité avec une séparation claire entre le patrimoine personnel et celui de l’entreprise.

Contrairement à la micro-entreprise, la SARL impose des formalités plus contraignantes dès sa création, notamment la rédaction de statuts et le dépôt d’un capital social. Toutefois, elle offre une plus grande flexibilité en matière de développement et permet d’accueillir des associés, ce qui facilite l’expansion de l’activité et l’accès à des financements.

Les formalités de création 

L’un des principaux atouts de la micro-entreprise réside dans la simplicité de sa création. L’immatriculation de l’entreprise est totale gratuite, elle se fait en ligne via le portail de l’INPI (Institut National de la Propriété Industrielle), et il suffit de remplir un formulaire pour déclarer son activité. Aucun capital social n’est requis, et les démarches administratives sont réduites au strict minimum. En quelques jours seulement, l’auto-entrepreneur peut commencer son activité et facturer ses premiers clients. Pour consulter le site de l’INPI, cliquez juste ici

La création d’une SARL est quant à elle payante et plus complexe. Elle demande plusieurs étapes administratives obligatoires :

  • Rédaction des statuts : Ce document essentiel définit les règles de fonctionnement de la société et les relations entre les associés ;
  • Dépôt du capital social : Contrairement à la micro-entreprise, la SARL nécessite un capital social (minimum symbolique de 1 €, mais en pratique souvent plus élevé). Ce capital doit être déposé sur un compte bancaire professionnel avant l’immatriculation ;
  • Publication d’une annonce légale : Pour informer le public de la création de la société, une annonce doit être publiée dans un journal d’annonces légales habilité ;
  • Immatriculation auprès de l’INPI.

À l’issue de cette démarche, l’entreprise obtient son numéro SIRET et peut débuter son activité.

Infographie sur les étapes de création d'une SAS et d'une SARL

Si ces étapes sont plus contraignantes que celles de la micro-entreprise, elles offrent toutefois une structure plus solide et une meilleure crédibilité pour l’entreprise.

🎯 En bref :

  • Vous avez peu de budget et préférez un statut simple ? La micro-entreprise est faite pour vous !
  • Vous n’avez pas peur de formalités administratives et souhaitez mettre en place une structure solide avec plus de possibilités de croissance ? Optez pour la SARL.

Le fonctionnement 

Fonctionnement de la micro-entreprise

Une fois créée, la micro-entreprise fonctionne selon des règles ultra-simplifiées. L’entrepreneur exerce son activité en son nom propre, bénéficie d’une gestion allégée, prend ses propres décisions et n’a pas de comptes à rendre, puisqu’il n’a pas d’associés. 

Cependant, ce régime présente des contraintes, notamment le plafonnement du chiffre d’affaires. En cas de dépassement des seuils fixés par la loi, l’auto-entrepreneur devra basculer vers un autre statut juridique, souvent plus contraignant en termes de gestion.

Fonctionnement de la SARL

La SARL, pour sa part, exige au minimum deux associés, mais peut en compter jusqu’à 100. Si vous êtes seul, il est possible de créer une SARL unipersonnelle, autrement dit, une EURL (Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée), qui fonctionne de manière similaire à une SARL, mais avec un seul associé.

Les décisions doivent être prises collectivement en assemblée générale, ce qui rend la prise de décision plus lente. Le gérant, représentant légal de la société, agit au nom de la société, sauf dispositions contraires dans les statuts.

Le fonctionnement de la SARL est très encadré par la loi, ce qui offre un cadre juridique sécurisant aux associés et une meilleure organisation pour le développement de l’activité. En revanche, elle nécessite une comptabilité complète et le respect d’obligations comptables strictes. 

🎯 En bref :

  • Vous êtes plusieurs à vous lancer ? La micro-entreprise n’est pas pour vous, optez pour la SARL ;
  • Vous démarrez seul·e ? La micro-entreprise est un choix tout à fait possible. 

un indépendant qui calcul son chiffres d’affaires pour ne pas dépasser limite

Limite de chiffre d’affaires 

La micro-entreprise est soumise à des plafonds de chiffre d’affaires. En cas de dépassement de ces seuils, il n’est plus possible de bénéficier de ce régime. Actuellement, les seuils de chiffre d’affaires sont les suivants :

  • 77 700€ pour les prestations de services et l’artisanat ;
  • 188 700€ pour les commerçants et les activités d’hébergement.

Si vous dépassez ces seuils tout en étant micro-entrepreneur, vous passerez automatiquement sous le statut d’entreprise individuelle.

Contrairement au micro-entrepreneur, le dirigeant d’une SARL n’est pas limité par un plafond de chiffre d’affaires. Autrement dit, il peut générer un chiffre d’affaires sans aucune restriction.

🎯 En bref

  • Vous visez un chiffre d’affaires élevé ? La micro-entreprise n’est probablement pas le statut le plus adapté à cause des plafonds à respecter ;
  • En SARL, pas de limite, vous pouvez générer autant que vous souhaitez ! 

Le régime social 

Le régime social de la micro-entreprise

Le micro-entrepreneur bénéficie d’un régime social simplifié, appelé régime micro-social. Ce régime offre une gestion allégée des cotisations sociales, qui sont calculées et payées à l’URSSAF en fonction du chiffre d’affaires, sur une base mensuelle ou trimestrielle. Le montant des cotisations est déterminé par un taux forfaitaire appliqué directement sur le chiffre d’affaires encaissé.

Si aucune recette n’est générée, aucune cotisation n’est due, et le micro-entrepreneur ne bénéficie d’aucune protection sociale.

Les taux de cotisations sociales pour un micro-entrepreneur sont les suivants :

  • 23,20 % du chiffres d’affaires pour les activités libérales réglementées à la CIPAV (BNC) ;
  • 24,60 % du chiffre d’affaires pour les activités libérales relevant de la sécurité sociale des indépendants.

Notez que, s’il le souhaite, le micro-entrepreneur peut demander à régler des cotisations minimales afin de s’assurer une meilleure protection sociale.

Le régime social en SARL

Le régime social du dirigeant d’une SARL varie en fonction de sa part dans le capital de l’entreprise :

  • Gérant minoritaire ou égalitaire (détient moins de 50 % des parts) : il est assimilé-salarié et relève du régime général de la Sécurité sociale, bénéficiant d’une protection sociale similaire à celle des salariés, sous réserve d’une rémunération ;
  • Gérant majoritaire (détient plus de 50 % des parts) : il est considéré comme travailleur non salarié (TNS) et dépend de la Sécurité sociale des indépendants.

Les cotisations sociales du gérant majoritaire sont plus élevées et représentent environ 45 % de sa rémunération, contre 75 % pour un gérant assimilé-salarié. 

🎯 En bref :

  • Vous cherchez à minimiser vos charges sociales ? La micro-entreprise est la solution idéale pour vous surtout si vous générez peu de recettes ;
  • Si les charges sociales ne sont pas votre principale préoccupation, la SARL peut être un choix plus adapté. 

Le régime fiscal 

Le régime fiscal en micro-entreprise 

En micro-entreprise, le régime micro-fiscal simplifie la gestion de vos impôts en appliquant un abattement forfaitaire sur votre chiffre d’affaires. Cet abattement varie selon votre activité :

  • 71 % pour l’achat-revente ;
  • 50 % pour les prestations de services BIC ;
  • 34 % pour les professions libérales BNC.

Grâce à ce régime, vous profitez d’une gestion fiscale simplifiée, mais vous ne pouvez pas déduire vos charges ni amortir vos équipements. 

L’impôt sur le revenu (IR) est ensuite calculé et payé facilement via un prélèvement à la source, sous forme d’acomptes mensuels ou trimestriels. Vous avez aussi la possibilité d’opter pour le versement libératoire, une solution pratique qui permet de régler simultanément votre impôt et vos cotisations sociales.

Le régime fiscal de la SARL 

En SARL, l’impôt sur les sociétés (IS) s’applique par défaut avec un taux standard de 25 %. Cependant, les petites entreprises peuvent généralement bénéficier d’un taux réduit de 15 % sur la part de leurs bénéfices jusqu’à 42 500 €. 

Contrairement à la micro-entreprise, les divers frais professionnels des dirigeants et leurs charges sociales sont entièrement déductibles, ce qui réduit l’impôt à payer.

Il est également possible, dans certains cas, d’opter pour l’impôt sur le revenu (IR), mais cette option est limitée à une durée de 5 ans.

🎯 En bref :

  • Vous générez des bénéfices conséquents et souhaitez optimiser votre fiscalité tout en faisant face à des charges importantes ou des projets d’investissement ? La SARL est la solution idéale pour vous ;
  • Vous avez des charges légères et des bénéfices modestes ? La micro-entreprise est parfaitement adaptée à votre situation. 

Les obligations comptables

Des obligations comptables simplifiées en micro-entreprise

Le statut de micro-entrepreneur offre des obligations comptables allégées. Il suffit de tenir un livre des recettes et, dans certains cas, un registre des achats. Ces documents permettent de justifier les revenus et dépenses auprès de l’administration fiscale.

  • Le livre des recettes : Permet d’enregistrer de façon chronologique les ventes (date, montant, mode de paiement, TVA si applicable) ;
  • Le registre des achats : Ce dernier est obligatoire uniquement si l’activité de l’entreprise implique de la vente de marchandises.

Notez que le micro-entreprise n’a pas d’obligation de déposer un bilan ni de comptes de résultat, ce qui simplifie grandement la gestion comptable.

Des obligations comptables plus complexes en SARL

En SARL, les obligations comptables sont plus détaillées. La société doit notamment : 

  • Établir les livres comptables obligatoires, qui décrivent la santé financière de l’entreprise ; 
  • Tenir une comptabilité régulière et complète
  • Établir et approuver les comptes annuels, puis les déposer sur le site de l’INPI.

La taxe sur la valeur ajoutée 

Quel que soit son statut juridique, un indépendant qui reste sous les seuils de chiffre d’affaires fixés par l’administration fiscale peut profiter de la franchise en base de TVA. Cela signifie qu’il n’a ni à facturer ni à déclarer la TVA sur ses ventes, ce qui simplifie ses obligations fiscales. Les seuils à ne pas dépasser sont les suivants : 

  • 93 500€ pour les activités commerciales ; 
  • 41 250€ pour les activités de prestations de services. 

🎯 En bref : 

  • La micro-entreprise est parfaite si vous recherchez des obligations comptables allégées ; 
  • Vous pouvez opter pour la SARL si vous n’avez pas peur de la paperasse

Les avantages et inconvénients des deux statuts 

La micro-entreprise

Voici les avantages de la micro-entreprise : 

  • Simplicité administrative : La gestion comptable est allégée, avec peu de formalités à remplir (livre des recettes et registre des achats) ;
  • Charges sociales proportionnelles : Les cotisations sont calculées en fonction du chiffre d’affaires, ce qui limite les charges en cas de faibles revenus ;
  • Création rapide et peu coûteuse : La procédure de création est simple, sans frais de notaire ni capital minimum requis.

La micro-entreprise comporte toutefois des limites : 

  • Plafonds de chiffre d’affaires : Le chiffre d’affaires est limité, ce qui peut freiner la croissance de l’activité ;
  • Pas de déduction de charges : Le micro-entrepreneur ne peut pas déduire ses dépenses professionnelles, ce qui peut entraîner un impôt plus élevé ;
  • Protection sociale minimale : La couverture sociale est moins étendue par rapport à d’autres statuts, comme en SARL, avec des cotisations moins avantageuses. 
Avantages Inconvénients
Simplicité administrative Plafonds de chiffre d’affaires
Charges sociales proportionnelles Pas de déduction des charges
Création rapide et peu coûteuse Protection sociale minimale

 

La SARL

La SARL offre plusieurs avantages :

  • Responsabilité limitée : La responsabilité des associés est limitée à leurs apports, ce qui protège le patrimoine personnel ;
  • Crédibilité : Le statut de SARL donne une image professionnelle et rassure les partenaires financiers et commerciaux ;
  • Possibilité de déduire les charges : Les frais professionnels (salaires, achats, déplacements) peuvent être déduits, ce qui réduit la base imposable ;
  • Régime fiscal flexible : La SARL peut opter pour l’impôt sur le revenu (IR) dans certains cas, ce qui peut être avantageux pour les petites entreprises familiales.

Elle comporte toutefois certaines limites 

  • Complexité administrative : Les obligations comptables et fiscales sont plus lourdes, nécessitant souvent l’intervention d’un expert-comptable ;
  • Coûts plus élevés : Les cotisations sociales sont plus importantes, surtout pour les gérants assimilés salariés ;
  • Formalités de création : La création d’une SARL implique des démarches plus complexes et des frais de constitution.
Avantages Inconvénients
Responsabilité limitée Formalités de création complexes
Crédibilité renforcée Obligations comptables lourdes
Possibilité de déduire les charges Coût plus élevé 

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par Julie Pay Vargas

Julie est rédactrice de contenu chez Indy. Spécialiste des entreprises soumises à l'impôt sur les sociétés, elle partage toutes ses connaissances afin de rendre la comptabilité accessible à tous !