Le choix de votre statut juridique constitue l’une des étapes clés du processus de création d’entreprise. Si vous envisagez de vous lancer seul, plusieurs statuts s’offrent à vous dont la micro-entreprise (appelée anciennement auto-entreprise) ainsi que l’EURL (Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée). Dans cet article, nous vous expliquons tout à leur propos : formalités de création, fonctionnement, régime social, régime fiscal, etc. suivez-nous ! 🚀

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📝 En résumé :
Micro-entreprise ou EURL : que choisir ?
- La micro-entreprise offre des formalités de création et des obligations comptables simplifiées. Elle est idéale pour se lancer avec des ressources limitées, essayer un projet et débuter son activité en toute simplicité. Toutefois, elle est soumise à des plafonds de chiffre d’affaires spécifiques et ne permet pas la déduction des charges professionnelles ;
- L’EURL, en revanche, n’impose pas de seuils mais dispose de formalités de création et d’obligations comptables plus complexes. Elle impose également un encadrement juridique strict, ne permettant pas à l’entrepreneur de définir librement l’organisation de la société.
L’article en bref
Auto-entrepreneurs | EURL | |
✅ Avantages | Formalités de création simplifiées | Responsabilité limitée de l’associé unique |
Comptabilité simplifiée | Fiscalité avantageuse | |
Versement libératoire de l’IR | Encadrement juridique | |
Charges sociales proportionnelles | Simplicité de fonctionnement | |
– | Aucune limite de CA | |
– | Possibilité d’évolution de la structure | |
– | Large éventail d’activités éligibles | |
❌ Inconvénients | Chiffre d’affaires limité | Cadre juridique strict |
Charges professionnelles non déductibles | Régime social du dirigeant | |
Protection sociale limitée | Formalités de création fastidieuses | |
Grand nombre d’activités non éligibles | Obligations comptables et fiscales complexes |
Micro-entreprise ou EURL : définition et caractéristiques
La micro-entreprise : de quoi s’agit-il ?
La micro-entreprise, anciennement appelée auto-entreprise, n’est pas un statut juridique à proprement parler comme c’est le cas pour l’EURL. En effet, il s’agit en réalité d’une forme simplifiée d’entreprise individuelle (EI).
Un micro-entrepreneur exerce en son nom propre et bénéficie d’un régime simplifié : le régime micro (combinant le régime micro-fiscal et micro-social).
À l’inverse de l’EURL, la création d’une micro-entreprise n’entraîne pas la création d’une personne morale. Cela signifie ainsi que l’entreprise et vous-même ne formez qu’un.
Ce régime est adapté aux travailleurs indépendants dont le chiffre d’affaires ne dépasse pas :
- 188 700€ pour les activités commerciales et les prestations d’hébergement ;
- 77 700€ pour les activités libérales et les prestations de services.
Enfin, une micro-entreprise dispose de formalités de création et d’obligations comptables simplifiées.
L’EURL : de quoi s’agit-il ?
L’EURL est l’acronyme de « Entreprise Unipersonnelle à Responsabilité Limitée ».
L’EURL représente la forme unipersonnelle de la SARL (Société à Responsabilité Limitée), ce qui signifie qu’elle ne comporte qu’un associé unique. Une EURL est donc identique à la SARL à la seule différence que seul un associé compose la société.
SARL ou EURL, quelles sont les différences ? Consultez notre article sur le sujet, nous vous expliquons tout !
Comme dit plus haut, l’EURL est une personne morale. En d’autres termes, l’entrepreneur crée une entité complètement indépendante. La responsabilité de l’associé est limitée au montant des apports au capital social.
Enfin, contrairement à la micro-entreprise, l’EURL dispose de formalités de création plus fastidieuses et coûteuses ainsi que d’obligations comptables plus complexes.
Micro-entreprise : les avantages et inconvénients
✅ Les avantages
1. Des formalités de création simplifiées
En micro-entreprise, les formalités de création sont simples, rapides et peu coûteuses. En effet, vous n’avez ni besoin de rédiger des statuts, ni besoin de publier une annonce légale mais seulement de créer votre compte URSSAF et déclarer votre activité en ligne sur le site du Guichet unique de l’INPI (Institut National de la Propriété Industrielle, ici).
À l’issue de cette démarche, votre entreprise sera inscrite auprès du RNE (Registre National des Entreprises) et vous recevrez vos numéros SIRET, SIREN ainsi que votre code APE.
En cas de besoin, il est possible de faire appel à un professionnel. Chez Indy, nos spécialistes vous accompagnent à chaque étape du processus de création d’entreprise : du choix de votre statut juridique à la réception des documents obligatoires.
2. Une comptabilité simplifiée
En tant qu’auto-entrepreneur, vous bénéficiez également d’obligations comptables simplifiées. En effet, celles-ci se résument principalement à :
- L’établissement d’un livre des recettes ;
- La tenue d’un registre des achats (uniquement si vous exercez une activité de fourniture de logement ou une activité de vente de marchandises, d’objets, de fournitures, de denrées à emporter ou à consommer sur place) ;
- La déclaration de votre chiffre d’affaires (CA) à l’URSSAF ;
- L’ouverture d’un compte bancaire dédié à l’activité professionnelle si votre CA dépasse 10 000€ sur deux années consécutives.
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3. Le versement libératoire de l’impôt sur le revenu (IR)
En tant que micro-entrepreneur, vous pouvez bénéficier du versement libératoire de l’impôt sur le revenu (IR). Pour ce faire, vous devez en formuler la demande auprès de l’URSSAF.
L’organisme collectera alors l’impôt pour le compte de la DGFiP (Direction Générale des Finances Publiques) sur une période trimestrielle ou mensuelle. Ce dispositif permet ainsi de payer l’impôt progressivement via des versements tout au long de l’année, en même temps que le paiement des cotisations sociales.
Le taux de prélèvement varie selon la nature de votre activité :
- 1% pour les activités de vente et les prestations d’hébergement ;
- 1,7% pour les activités de prestations de services relevant des BIC (Bénéfices Industriels et Commerciaux) ;
- 2,2% pour les activités de prestations de services ainsi que les activités libérales appartenant aux BNC (Bénéfices Non Commerciaux).
4. Des charges sociales proportionnelles
Sous ce statut, les charges sociales sont calculées en fonction du chiffre d’affaires. Ainsi, en cas de faibles revenus, les charges sociales sont limitées.
❌ Les inconvénients
1. Un chiffre d’affaires limité
Bien que disposant de nombreux avantages, la micro-entreprise possède aussi quelques inconvénients. En premier lieu, nous retrouvons les seuils de chiffre d’affaires. En effet, ce statut est accessible uniquement aux entreprises dont le CA ne dépasse pas :
- 188 700€ pour les activités commerciales et les prestations d’hébergement ;
- 77 700€ pour les activités libérales et les prestations de services.
En cas de dépassement, vous serez automatiquement basculé au régime réel.
2. Des charges professionnelles non déductibles
Contrairement à l’EURL, il est impossible en micro-entreprise de déduire les charges professionnelles de votre chiffre d’affaires. Autrement dit, tous les frais engagés au titre de l’activité professionnelle (les frais d’assurance, les frais bancaires, les dépenses de matériel, etc.) ne sont pas déductibles.
En effet, vous bénéficiez déjà d’un abattement forfaitaire, permettant de diminuer votre base d’imposition. Le montant de l’abattement s’élève à :
- 71% pour les activités de ventes ;
- 50% pour les activités de prestations de services BIC (Bénéfices Industriels et Commerciaux) ;
- 34% pour les activités de prestations de services BNC (Bénéfices Non Commerciaux) et les activités libérales.
Notre conseil : les charges non déductibles augmentent votre impôt à payer. Toutefois, si vous prévoyez peu de charges, nous vous conseillons de vous tourner vers la micro-entreprise et de profiter de la simplicité que confère ce statut.
3. Une couverture sociale limitée
En tant que TNS (Travailleur Non Salarié), un auto-entrepreneur est affilié à la SSI (Sécurité Sociale des Indépendants). Il dispose donc d’une couverture sociale moins avantageuse que les salariés.
4. Un grand nombre d’activités non éligibles
De nombreuses activités ne peuvent pas prétendre au statut d’auto-entrepreneur. Celles-ci comprennent :
- Les activités qui relèvent de la catégorie des bénéfices agricoles (BA). Ce sont toutes les activités relatives à la gestion et à l’exploitation d’un cycle biologique impliquant des végétaux ou des animaux ainsi que les activités directement liées à la production ou à l’exploitation de ces derniers ;
- Les activités soumises à la TVA immobilière (exemple : agents immobiliers, marchands de biens, etc.) ;
- Les activités agricoles qui relèvent du régime social de la MSA (Mutualité sociale agricole) ;
- Les activités réglementées affiliées à une caisse de retraite autre que la Cipav ou le régime de retraite des indépendants. Celles-ci concernent principalement les professions libérales juridiques et judiciaires ou relevant du domaine de la santé ;
- Les activités artistiques rémunérées par droits d’auteur. Elles dépendent de l’Agessa ou de la maison des artistes ;
- Des activités autres : journalistes, les professionnels effectuant des opérations sur les marchés financiers, etc.
EURL : les avantages et inconvénients
✅ Les avantages
1. La responsabilité limitée de l’associé unique
En EURL, l’associé unique dispose d’une responsabilité limitée au montant de ses apports. En cas de défaut de paiement de la société, les biens personnels de l’entrepreneur sont donc protégés. Le patrimoine professionnel de l’EURL et le patrimoine personnel de l’associé sont donc dissociés.
2. Une fiscalité avantageuse
L’EURL est soumise par défaut à l’impôt sur le revenu (IR). Cela signifie que les bénéfices sont imposés directement au niveau de l’associé unique selon les règles de l’IR.
Si vous le souhaitez, vous pouvez opter pour l’impôt sur les sociétés (IS). Si vous faites ce choix, vous avez alors jusqu’au 5ème exercice suivant pour revenir à l’IR. Après ça, le choix sera irrévocable.
Si votre EURL est soumise à l’IR et qu’elle génère un déficit, vous pouvez l’imputer directement sur les revenus de votre foyer fiscal, ce qui réduit votre imposition personnelle.
Par ailleurs, certaines charges peuvent venir en déduction du résultat fiscal, sous des conditions bien spécifiques. En effet, ces charges doivent :
- Être engagées dans l’intérêt de l’entreprise ;
- Entraîner une réduction de l’actif net de l’EURL ;
- Être comptabilisées au cours de l’exercice social concerné ;
- Être justifiées par une facture.
3. L’encadrement juridique
L’EURL présente un encadrement juridique relativement strict. Cet encadrement en fait un statut juridique sécurisant, en particulier si vous vous lancez dans l’entrepreneuriat pour la première fois.
Le saviez-vous ? Contrairement à l’EURL, la SASU dispose d’un encadrement juridique plus flexible. Par exemple, en SASU, la rédaction des statuts est libre, ce qui n’est pas le cas en EURL. Ainsi, si vous hésitez entre la SASU et l’EURL, prenez en compte ce paramètre.
4. La simplicité de fonctionnement
En EURL, vous êtes l’unique décisionnaire. C’est vous qui prenez l’ensemble des décisions stratégiques et opérationnelles, vous n’avez pas à concerter d’autres associés. Cela vous permet ainsi d’agir rapidement et en parfaite autonomie.
Certaines obligations qui incombent aux SARL ont été supprimées pour l’EURL. C’est notamment le cas de la tenue d’une assemblée générale pour l’approbation des comptes annuels.
5. Aucune limite de chiffre d’affaires
L’un des avantages de l’EURL se rapporte à l’absence de plafonds de chiffre d’affaires. Contrairement à la micro-entreprise qui impose des seuils à ne pas dépasser, l’EURL permet de développer son activité sans restriction de revenus. Cette liberté en fait un statut plus propice au développement de votre activité.
6. Possibilité d’évolution de la structure
Si vous souhaitez vous associer, l’EURL peut facilement être convertie en SARL. Pour ce faire, il vous suffira simplement de procéder à une cession de parts sociales ou à une augmentation du capital social, bien que la deuxième solution soit plus complexe. Dans les deux cas, vous devrez rédiger un acte écrit et modifier les statuts de la société.
7. Un large éventail d’activités éligibles
L’EURL est une société commerciale pouvant exercer tout type d’activité, excepté certains secteurs réglementés comme l’épargne, l’assurance et les professions libérales réglementées.
❌ Les inconvénients
1. Un cadre juridique strict
L’encadrement juridique de l’EURL constitue un avantage comme un inconvénient. En effet, il en fait un statut sécurisant mais aussi contraignant. En effet, les règles strictes qui encadrent ce statut ne permettent pas à l’entrepreneur de rédiger librement les statuts de la société et de définir l’organisation de la structure.
2. Le régime social du dirigeant
Pour l’EURL, deux cas de figure se présentent en fonction de si le gérant de l’EURL est associé ou non.
Lorsque l’associé unique exerce la fonction de gérant de l’EURL, il est affilié au régime social des travailleurs non salariés (TNS) et dépend donc du régime général de la Sécurité sociale. En revanche, lorsque la fonction de gérant est exercée par un tiers :
- L’associé unique est affilié au régime des TNS dès lors qu’il exerce une activité au sein de l’EURL, rémunérée ou non ;
- Le gérant (tiers) relève du régime social des assimilés salariés si celui-ci est rémunéré au titre de son mandat social. Il bénéficie, à ce titre, d’une meilleure couverture sociale, identique à celle d’un salarié.
3. Des formalités de création fastidieuses
En EURL, les formalités de création sont plus lourdes et coûteuses qu’en micro-entreprise. Elles se déroulent en plusieurs étapes comprenant :
- La rédaction des statuts : il s’agit de l’ensemble des règles qui régissent le fonctionnement de la société et les relations entre les associés ;
- Le dépôt du capital social : à l’inverse de la micro-entreprise, l’EURL requiert un dépôt de capital social pour sa création. Aucun montant minimum n’est imposé par la loi, seul le montant symbolique de 1 euro est exigé. Il doit être déposé sur un compte bancaire professionnel, et ce, avant l’immatriculation de la structure auprès de l’INPI ;
- La publication d’une annonce légale : une annonce doit être publiée dans un journal d’annonces légales (JAL) afin d’informer les tiers de la création de votre EURL ;
- La déclaration du bénéficiaire effectif : elle doit être déposée au greffe du Tribunal de commerce en même temps que le dépôt de votre dossier d’immatriculation ;
- L’immatriculation de l’EURL : enfin, l’EURL doit être immatriculée auprès du guichet unique de l’INPI. C’est à l’issue de cette démarche que vous obtenez votre numéro SIRET et que vous pouvez démarrer légalement votre activité.
Que vous choisissiez de vous lancer en micro-entreprise ou en EURL, pensez aussi à souscrire les assurances professionnelles obligatoires comme la RC pro (Responsabilité Civile professionnelle).
4. Les obligations comptables et fiscales
Enfin, en EURL, vous êtes soumis à des obligations comptables et fiscales plus complexes qu’en auto-entreprise. Ces dernières comprennent notamment :
- La tenue des livres comptables (Grand livre, livre-journal, etc.) ;
- L’établissement des comptes annuels (bilan comptable, compte de résultat, annexe) ;
- Pour les EURL à l’IS uniquement : le dépôt des déclarations 2065 et 2033 (au régime réel simplifié) ou 2065 et 2050 (au régime réel normal d’imposition).
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Comment choisir entre la micro-entreprise et l’EURL ?
Le choix entre la micro-entreprise et l’EURL dépend de plusieurs critères :
- Votre projet de création d’entreprise ;
- La nature de votre activité ;
- Votre prévisionnel de chiffre d’affaires ;
- Etc.
Quelle est la nature de votre activité ?
Comme mentionné précédemment, l’EURL permet d’exercer un plus grand nombre d’activités que la micro-entreprise. Si votre activité fait partie de celles interdites sous le régime de la micro-entreprise, l’EURL constitue alors une alternative plus adaptée.
Quel est votre prévisionnel de chiffre d’affaires ?
En micro-entreprise, le chiffre d’affaires est limité à un plafond spécifique. Pour rappel, ce dernier s’élève à :
- 188 700€ pour les activités commerciales et les prestations d’hébergement ;
- 77 700€ pour les activités libérales et les prestations de services.
Si vous prévoyez de réaliser rapidement un chiffre d’affaires élevé, nous vous conseillons d’opter pour l’EURL.
Quel est le montant moyen de vos charges ?
Si votre projet dispose de charges conséquentes (achat de matières premières, de matériel, etc.), il sera alors préférable pour vous d’opter pour l’EURL. En effet, en EURL, vous pouvez déduire le montant réel des charges de votre chiffre d’affaires, ce qui n’est pas le cas du statut d’auto-entrepreneur.
Quelles sont vos prévisions de croissance ?
Si vous pensez que votre activité peut mener à une croissance rapide, générer un chiffre d’affaires élevé et voir potentiellement l’arrivée de nouveaux associés, optez pour l’EURL. Si besoin, il sera facile de transformer la société en SARL.
Souhaitez-vous bénéficier de formalités de création et d’obligations comptables simplifiées ?
Enfin, la micro-entreprise offre des formalités de création allégées et une gestion comptable simplifiée. Si vous redoutez la complexité des obligations comptables, ce régime peut être une option plus accessible.
D’autres paramètres entrent en compte dans le choix de votre statut juridique. Pensez également à vous questionner sur la fiscalité de l’entreprise ainsi que sur la couverture sociale souhaitée.
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